La saison 2024-2025 de karaté débute :
- pour les Adultes, le Mardi 3 Septembre 2024 aux gymnases Fénelon (tous les Mardis, Paris 6e), Vaugirard/Littré (sauf Mardi & Dimanche, Paris 6e) et Masseran (dimanche, Paris 7e),
- pour les Adolescents, le Samedi 7 Septembre 2024 au gymnase Vaugirard,
- pour les Enfants, le Samedi 14 Septembre 2024 au gymnase Vaugirard.
L’organisation des cours est rappelée dans le tableau ci-dessous.
Lundi |
Mardi |
Mercredi |
Jeudi |
Samedi |
Samedi |
Samedi |
|
Heures& Lieu |
20h-22hVaugirard |
20h-22hFénelon |
20h-22hVaugirard |
20h-22hVaugirard |
10h-12hVaugirard |
10h30-12h00Vaugirard |
13h-14hVaugirard |
Niveaux |
Marron et noires |
Tous niveaux |
A partir de 1er dan |
Tous niveaux |
Tous niveaux |
Cours ADOS à partir de 12 ans |
Cours ENFANTS à partir de 6 ans |
Responsables&assistants |
Ambroise Audoin |
Dan NisandTich Bao Nguyen |
Stéphane AudoinAmbroise Audoin |
Pierre Moulinier |
Hector GomartPierre Moulinier |
Bau LyDamien CabreraAna ParisTich Bao Nguyen |
Yardena CabessaBéatrice Giros |
2010 - 40 ans de Shotokan Israël
2010 - Compétition de Paris
2010 - Compéition Israel
2010 - Passage de grades
2010 - Démonstration jardin du Luxembourg
2010 - Stage Christian Tissier
2010 - Stage maitre Ohshima
2010 - Divers
2009 - Compétition Paris
2009 - Stage Kumite Paris
2009 - Passage de grades
2009 - Stage special de Santa Barbara
2009 - Stage spécial de Vichy
2008 - Compétitions
2008 - Stage Vichy
2007 - Competitions
2007 - Stages
Vie du Dojo
2006 - Passagede grades
2006
2004 - 40e anniversaire France Shotokan à Mulhouse
2004
2002 - Stage me ohshima Paris
2002
Stage dhoulgate octobre 2001
Nos Dojos à Paris
Dojo VAUGIRARD-LITTRÉ : 87 rue de Vaugirard – 75006 Paris (Lundi, Mercredi, Jeudi, Samedi)
Métro Saint Placide (l. 4), ou Montparnasse (l. 4, 6, 12, 13) ou Duroc (l. 10, 13)
Dojo LYCÉE FÉNELON : 2 rue de l’Éperon – 75006 Paris (Mardi)
Métro Odéon (l. 4, 10), ou Saint-Michel Notre-Dame (l.4, B, C)
Dojo MASSERAN : 6 rue Masseran – 75007 Paris (entraînements du dimanche)
Métro Duroc (l. 10, 13) ou Saint-François-Xavier (l. 13) ou Sèvres-Lecourbe (l. 6)
Contact
Adresse postale :
Maison de la Vie Associative et Citoyenne du Quartier latin – 5e et 6e arrondissements
4, rue des Arènes
75005 PARIS
Tél. : 07 64 29 46 19
Commencer le karaté
Quel est l’équipement nécessaire ?
Commencer le karaté demande un investissement raisonnable : un keikogi, une ceinture blanche et la volonté de venir s’entraîner régulièrement (au moins deux fois par semaine si on veut progresser).
Quels sont les bénéfices pour la santé ?
Le karaté peut être très bénéfique pour la santé avec une pratique adaptée.
De manière générale, le karaté va faire appel à la coordination et l’équilibre. Selon l’âge, la pratique du karaté va apporter des bienfaits spécifiques.
Chez l’enfant, il permet le travail de la latéralisation et de la précision des gestes. Le travail à deux ou en groupe lors des entraînements permet de développer les relations sociales.
Chez l’adolescent et le jeune adulte, le karaté peut avoir des vertus éducatives : il permet de canaliser la volonté et l’énergie, tout en apprenant à perdre, à gagner et surtout à respecter les règles du jeu.
A partir d’environ 40 ans, il permet un entretien physique. Enfin, lorsqu’on avance en âge, la pratique des katas (forme martiale du karaté) est quasiment un traitement du vieillissement neurologique et musculaire. Chez les personnes âgées, la pratique du karaté entretient l’équilibre et la masse musculaire : c’est un moyen de prévention des chutes et par la même des fractures, notamment celle du col du fémur.
Quelles sont les limites d’âge ?
Les enfants peuvent débuter le karaté dès l’âge de 6 ans. A partir de 8 ou 9 ans, ils peuvent acquérir des notions de compétition, avec des katas et du travail à deux. Ils sont évalués en fin d’année (passage de grades). La compétition réelle ne commence que vers l’âge de 11 à 12 ans.
Il est rare de pratiquer la compétition à un haut niveau au-delà de 30 ans. On peut continuer les combats traditionnels ou libre ensuite, lors d’assauts souples. Quant à la pratique des kihons et des katas, il n’y a pas de limite d’âge supérieur.
Le karaté au Feminin
La pratique des femmes en karaté est récente. Cependant, le karaté est un art martial adapté à la pratique des femmes, souvent plus souple et plus rapide que celle des hommes. Les entraînements sont mixtes et les femmes développent leur propre karaté pour faire face à n’importe quel adversaire. Maître Ohshima insiste sur le fait que les femmes doivent pratiquer en recherchant une efficacité réelle. Elle doivent travailler particulièrement les techniques qui peuvent leur permettre de se défendre contre un adversaire beaucoup plus puissant.
Quelles sont les contre-indications à la pratique du karaté ?
Il existe deux pratiques différentes du karaté : en salle et en compétition. Pour la pratique en salle, les contre-indications sont celles de tout sport. Pour assurer une pratique sereine, un certificat médical est demandé en début de saison à chaque pratiquant. En ce qui concerne la pratique du karaté en compétition, les contre-indications sont plus strictes, les athlètes de haut niveau par exemple suivent des examens plus poussés, afin de déceler notamment les troubles du rythme cardiaque.
Quels sont les traumatismes les plus fréquents ?
Pour la pratique des katas, il n’existe quasiment pas de risques de traumatisme, notamment musculaire, à partir du moment où les surfaces utilisées sont stables et de bonne qualité.
Lors de combats, 80% des traumatismes concernent la face : lésions au niveau des lèvres, du nez, plus rarement l’œil ou l’oreille. Ils sont dus à des coups accidentels et sont rares.
Les traumatismes musculaires ne sont pas rares, mais se limitent souvent à des hématomes. Au karaté, il y a très peu d’entorses ou de lésions articulaires au niveau des chevilles, des genoux, des épaules ou du cou. Parfois, il peut se produire des lésions au niveau de la main : entorses ou fractures des doigts.
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Stages techniques et stages spéciaux
Notre style se caractérise par l’existence de stages dits « spéciaux » (Gasshuku en japonais). Ils sont présents dans toutes les associations nationales Shotokan Ohshima : au Canada, aux Etats-Unis, en Suisse, en Belgique… Concernant la France, il y a 5 stages de ce type dans l’année : un pour chaque quart du pays, plus un stage national organisé à Vichy. Initialement organisés sur 7 jours au Japon, ils sont désormais réduits à 4 jours.
Le stage débute par les retrouvailles, la veille au soir. Les participants viennent des quatre coins de la France. Certains arrivent dans le courant de la nuit. Les participants entrent dans le vif du sujet le lendemain matin : lever au petit matin ! Les cours s’enchainent alors à raison de trois cours minimum par jours (5h00, 14h00, 21h00…. ). Le but d’un stage spécial est de forcer ses participants à se dépasser physiquement et mentalement. Le travail pour améliorer sa technique se fait lors de tous les autres stages, qualifiés à juste titre de «stages techniques».
C’est une épreuve physique (résistance à l’effort, à la fatigue qui s’accumule). Il y a des cours ou l’on effectue par exemple 1 200 techniques, ou encore 80 katas.
C’est une épreuve également mentale : les deux épreuves les plus redoutées sont sans nul doute le « kibadachi » (posture du cavalier) immobile pendant 1h30, et le « sambon kumité » (1h30 heure de combat conventionnel qui se finit pour les gradés d’une demi-heure d’attaques au niveau visage).
Les stagiaires suivent également un entraînement particulier : 1 000 oizuki dans le noir et en silence. Ce cours est un hommage aux pratiquants d’Okinawa aux temps où ils devaient pratiquer discrètement voire secrètement la nuit.
Si le stage spécial est une épreuve redoutable, ses participants commencent et finissent tous ensemble, quels que soient les grades, le genre, ou l’âge.
Les stages techniques, quant à eux, sont donc moins intenses et portent sur un thème particulier, généralement via l’enchaînement de deux ou trois entrainements sur un week-end, et dirigés par les plus gradés de l’association nationale France Shotokan.
On peut par ailleurs noter que les deux types de stages respectent aussi le principe de bénévolat des instructeurs.
Vous pouvez trouver des retours dans les Actualités.
Source : France Shotokan Caen (AGC)